4EME BILAN D’APPLICATION DE LA RECOMMANDATION ARPP JEUX D’ARGENT

3 857 publicités examinées, un taux de conformité de 99,6 %

Communiqués de presse

L’ARPP publie le quatrième bilan d’application des règles déontologiques encadrant la communication publicitaire des jeux d’argent en ligne et en « dur ».

Aucun manquement n’a été relevé en publicité extérieure et en télévision. Aucune plainte portée devant le Jury de Déontologie Publicitaire, instance associée à l’ARPP, ne visait ces communications.

Les 15 manquements identifiés représentent 0,4 % des publicités analysées, soit un résultat stable par rapport au bilan précédent, publié en décembre 2014.

La période d’étude couvre 9 mois, du 1er janvier au 30 septembre 2016, soit 3 857 messages examinés.

Les médias audités sont l’affichage (classique et digital), la radio, la presse, les bannières et les web vidéos Internet [1] , ainsi que pour la première année, les messages diffusés sur les réseaux sociaux. La télévision faisant l’objet d’un avis systématique de l’ARPP avant diffusion, n’entre pas dans le périmètre de cette étude.

A l’occasion de la réactualisation de l’ensemble des Recommandations ARPP, la Recommandation Jeux d’Argent est désormais précédée d’extraits de l’avis rendu par le Conseil Paritaire de la Publicité en 2009, qui rappelait en particulier :

  • « …l’obligation d’informer explicitement les joueur notamment sur les coûts, gains et pertes,
  • la nécessité de ne pas créer les conditions positives d’une attraction pour les mineurs… ».

Certains des manquements relevés sur les réseaux sociaux, reprenant des éléments visuels ou écrits propres à l’enfance, ne respectaient pas cette exigence.

S’agissant des casinos, seuls deux manquements ont été identifiés dans leur communication presse :

Jean François COT, président du syndicat professionnel Casinos de France, interviewé dans ce cadre de ce bilan, s’est félicité du travail partagé avec l’ARPP :

« …nous concevons notre collaboration avec l’ARPP comme un véritable partenariat… son analyse des anomalies constatées apporte un retour d’expérience d’abord destiné à éviter de les reproduire. Mais elle permet aussi de mettre en évidence et de comprendre les motifs, parfois subtils, qui ont conduit à retenir un manquement dans les messages publicitaires incriminés. Cette collaboration favorise l’appropriation des règles de déontologie publicitaire. Il nous appartient ensuite d’aider nos adhérents à en saisir tout l’esprit… »

Contact presse :
ARPP – Stéphane Martin, Directeur Général, +33 (0)1 40 15 15 26 / formulaire de contact / @smartinarpp

Paris, le 3 juillet 2017

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